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La Tribune Libre de la Vaunage
2 juin 2010

LA CRISE GRECQUE ET SES CONSEQUENCES

À lire, la synthèse d’Anton Dertovk sur GooglibertéGooglibertéGooglibertéGoogliberté consacrée à la crise grecque :

autruche_mettant_la_tete_dans_le_sableTout le monde le sait la Grèce va mal financièrement. Et la crise qu’elle traverse n’est sans doute que la partie la plus odorante de la ferme des animaux européens, dès lors que derrière elle quatre autres cochons (Portugal, Italie, l’Irlande et l’Espagne)  et un goret (La France et sa dette) menacent la zone euro.Nos dirigants font l'autruche et les difficultés restent.

Ce qu’on sait moins, ou feint d’ignorer lorsqu’on s’en prend aux boucs émissaires de « spéculateurs », « marchés » et autres accusés d’aggraver la crise, c’est que dans cet Etat — qui a falsifié ses comptes pour rentrer dans l’euro (et ce malgré les grandes réticences d’une Allemagne à qui on demande de régler une grande partie de l’addition) — la fonction publique y est bien grosse (un actif sur quatre), que tout le système baigne dans la sauce d’un graissage de patte politicien généralisé et qui demeure inefficace (cf. « Aux origines de la crise grecque » de Takis Michas, Un monde libre, 23/04/10).

Comment peut-elle se sortir de la faillite qui la menace ? En cherchant sur GooglibertéGooglibertéGooglibertéGoogliberté on peut s’apercevoir que les libéraux ont quelques idées sur la question :

En attendant, la fourmi Allemagne (« La cigale grecque chante, la fourmi allemande se fait sonner les cloches » par Roman Bernard, 29/04/10) est de plus en plus tentée par un démariage à la grecque (cf. « Et si l’Allemagne quittait l’euro ? » d’Aurélien Véron, 28/04/10) et commence à se demander si elle ne devrait pas se sortir de ce bourbier en essayant d’échapper le plus possible (si cela l’est) à cette crise systémique (cf. « De la crise grecque à la crise systémique globale » par Alain Dumait, 21/03/10) … en espérant que tout ceci ne tourne pas au vinaigre ou au cauchemar (« La crise grecque tourne au cauchemar » par Philippe Herlin).

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Source:le cri du contribuable

Mercredi prochain(9/06), la Commission européenne va demander à la France de ramener dès 2013 son déficit public sous la limite autorisée par l’Union européenne, à savoir 3 % du PIB. Le gouvernement français, qui s’était fixé cet objectif à l’horizon 2014, va devoir envisager des mesures plus fermes de réduction des dépenses que celles qui ont été prises jusque là. La Commission européenne a pris cette décision après avoir établi que la France n’avait pas pris des mesures suffisamment efficaces pour éviter le dérapage de ses finances publiques. Trois autres pays sont concernés : l’Espagne, le Royaume-Uni et l’Irlande.

CONCLUSION:  Les fourmis de Europe du nord réagissent. Les cigales de Europe du sud comprendront que untitledc'est ,peut-être, le début d'un processus pour avoir à terme un "euro du nord EURO FOURMI" et "un euro du sud EURO CIGALE".

« La dette n’est ni de droite, ni de gauche. Elle pèse sur tous. »

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